Archives mensuelles : décembre 2011

Messages reçus avant 2012

Le 15 mars 2011

J’ai tout récemment constaté, par exemple, que deux personnes semblent tenir à vous diffamer, à outrance,
sur le Web. C’est un épisode qui m’attriste et me chagrine, car il met en exergue toute la puissance malfaisante de certains êtres,
qui brillent essentiellement par leur médiocrité et leur lâcheté.

Les êtres mauvais détestent la lumière, parce qu’elle les révèle à eux-mêmes. Ils détestent le bien, parce qu’il met leur Mal en
évidence; [..] Ils détruisent la lumière, le bien, l’amour, afin d’éviter la douleur de la prise de conscience. [..] Les êtres
véritablement mauvais refusent activement de se dépasser. Ils feront tout ce qui est en leur pouvoir [..] pour préserver l’intégrité
de leur moi malade. Plutôt que d’aider les autres à évoluer, ils les détruiront […] pour échapper à la douleur de leur évolution
spirituelle. Puisque l’intégrité de leur moi malade est menacée par la santé spirituelle de ceux qui les entourent, ils chercheront,
par tous les moyens, à les écraser et à les démolir. Je définis le Mal comme l’exercice d’un pouvoir politique – c’est-à-dire
l’imposition de sa volonté sur les autres par la contrainte (ouverte ou masquée) – afin d’éviter de se dépasser et d’encourager
l’évolution spirituelle. [..] Le Mal est l’incarnation de l’anti-amour.

Dr Scott Peck, psychiatre et psychothérapeute
(auteur du livre : « Le chemin le moins fréquenté »)

Dîtes-vous bien que des êtres – à votre noble image altière – sont rares, ici-bas.

C’est pourquoi je me désole d’autant plus des attaques sournoises – et délétères – que le sort vous enjoint de subir, face à
ces deux malfrats, dont l’équilibre statutaire de l’un deux (apparemment, le plus « pervers ») semble particulièrement sujet à
caution, tant sa vilénie paraît persistante.

Hector Berlioz, lui, vous réciterait sa fameuse tirade (je cite) :

→ « Il faut collectionner les pierres que l’on vous jette ; elles construisent votre futur piédestal. »

Je serais ravi de vous rencontrer physiquement et en personne, si l’occasion devait se présenter.

Mon commentaire : Formidable message de soutien ; comment ne pas être réconforté par ces paroles admirables !

Nous aurons bientôt l’opportunité de nous rencontrer.

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Le 5 juin 2009

Buongiorno Carissimo Maestro,

Il y a bien longtemps que je ne vous ai pas écrit.

J’ai lu sur le net la critique de ce pseudo ténor illustrement inconnu.
Cela m’a attristé de voir de quelle façon il parle de vous.
Mais tous ceux qui vous connaissent et tous ceux qui connaissent un tant soit peu le chant auront fait la part des choses.

Merci d’avoir utilisé votre droit de réponse qui a remis les pendules à l’heure.

Ne vous laissez surtout pas influencer par ces propos ignobles et imbéciles qui ne peuvent émaner que de quelqu’un qui « n’entrave » rien à l’art du chant.
Cet individu infâme doit avoir appris à chanter dans les conservatoires français, où l’on apprend que l’on chante sur trois registres : le grave, le médium et l’aigu, et que la voix doit se placer différemment sur chacun de ces registres.
ERREUR GRAVE.
A moins qu’il n’ait appris à chanter à la Star Académie (Emission qui crétinise les foules !)

Mais le chant par excellence, la méthode italienne, elle ne possède qu’un seul registre, la ligne de chant, c’est à dire le même point d’appui sur toute la tessiture, et elle a fait ses preuves depuis des lustres !

C’est grâce à cette méthode immuable que l’on a eu des ténors tels que Caruso, Pertile, Merli, Del Monaco, Corelli, Gigli, Lauri-Volpi, Martinelli et bien d’autres sopranos, baritons et basses.

Il faut ajouter ceci qui à mon avis est très important :
– les quelques excellents ténors français que l’on a eu sont allés en Italie pour se perfectionner selon les critèrs de la technique italienne (Scuola italiana del canto).
Je pense notamment à Georges Thill qui est resté deux ans à Naples chez Fernando de Lucia, et à Tony Poncet qui lui a terminé sa technique je crois à Florence, tout comme Alfredo Krauss.

Pour toutes ces raisons, cher Maestro, continuez dans le beau sacerdoce, car il s’agit bien d’un sacerdoce, car il faut y croire et nous y croyons.

Vous avez toute mon estime et je ferai tout ce que je pourrai pour vous soutenir encore et encore dans votre combat pour la défense de l’enseignement de la seule technique de chant qui soit : L’ECOLE ITALIENNE.

Je peux en parler car après 4 ans de conservatoire, j’avais du mal à donner des sons aigus.
En 2 leçons avec un ténor de La Scala qui enseigne aussi le chant selon la technique italienne, je donnais des si naturels avec aisance.

Alors que l’on ne vienne pas nous raconter des balivernes. Pas à nous !!

Cher Maestro, encore merci pour tout ce que vous faites.

Je vous assure de toute mon estime et de toute mon affection.

Amicalement

Guy Longardi

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Et le 18 juin 2009

Carissimo Maestro e Amico,

Merci de votre dernier message.
Tenez moi au courant pour votre concert, je ferai le maximum pour y être.

J’espère vivement que l’on pourra enfin se rencontrer.

Je reste à votre disposition pour témoigner en faveur de la défense de la technique italienne de chant.

Vous pouvez compter sur moi, je ferai tout ce qui sera en ma possibilité.

Pour ce qui est de porter plainte contre les individus qui vous ont sali ou plutôt qui ont essayé de vous salir, car tous ceux qui connaissent l’Art du chant ont su faire la part des choses, je me rallie à l’avis général de « laisser tomber », car cela ne réjouirait que trop ces infâmes individus !

« Les chiens aboient, la caravane passe ».

Laissez les chiens aboyer, ils s’arrêteront d’eux-mêmes.

Je suis persuadé que tous ceux qui vous connaissent, et tous ceux qui ne vous connaissent pas mais qui ont tant soit peu de Culture Lyrique auront compris qu’ils ont affaire à des goujats imbus de leur personne et pétris de jalousie.

Je vous renouvelle tout mon soutien

Amitiés

Guy Longardi

Commentaire : Une fois de plus merci mon cher Guy.

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From a young and excellent baritone :

I am a professional baritone singing in Belle-Ile, France with Lyrique en Mer right now.

I am in here until August 15th.
I would love to work with you on one of my days off as I am a huge fan of Del Monaco and his technique.

I really want to understand it. I think it is the most correct use of the voice.

Can you please let me know if you have any time to work with me? I would greatly appreciate it. Thank you.

En français : Je suis un baryton professionel chantant actuellement au festival de Belle île en Mer.

Je suis très désireux de travailler avec vous un jour de repos car je suis un « fan » de del Monaco et de sa technique.

Je pense que c’est le mode d’utilisation de la voix le plus correct qui existe.

Merci de me dire si vous avez du temps pour travailler avec moi, j’apprecierais beaucoup. Merci

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D’une Amie en Argentine

Je cite :

« Votre grand compatriote l’inoubliable Maestro Georges THILL a été un fervent défenseur de l’école italienne de chant classique d’opéra.

Je vous remercie pour votre beau commentaire » ! ELBA

Mon opinion : Merci Elba pour cette vérité.
Il est vrai que Georges THILL a appris le chant en Italie.

Le chant français comme celà : oui, mille fois oui !

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Autre message reçu le 19 novembre 2009

Buongiorno Maestro

En relisant certains de mes e.mails, j’ai retrouvé celui que je vous transmets ci=dessous:

« En effet, comme vous le savez, je chante avec une troupe qui s’appelle ITALICA et j’ai le bonheur d’être leur chef de chant.
Bien sûr je fais de mon mieux pour leur enseigner la méthode italienne telle que définie dans votre livre.
Je suis très heureux car j’obtiens de bons résultats.
Une des filles est en train de travailler « O mio babbino caro » et le rend suffisamment bien, au point que nous allons l’inclure dans notre répertoire.

D’autres arrivent à chanter à présent beaucoup mieux grâce à la précision du point d’appui et le soutien correct du souffle.
C’est ce que dit l’une d’entre elles dans le mail ci-dessous.

J’espère qu’au printemps je pourrai venir jusqu’à Rouen pour que nous nous rencontrions enfin.

Avec toute mon amitié »

Guy

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Autre message reçu le 10/12/2009 du Canada

Bonjour M. Yaeche

Mon professeur de chant, Madame Luise Lebrun, ne semblait pas à priori avoir connaissance de la technique italienne que vous enseignez.

Elle avait cependant beaucoup lu et étudié mais je ne connais pas tout son parcours.

Découragé j’ai arrêté après un an et demi.
Par la suite j’ai davantage étudié et pratiqué par moi-même juste pour le plaisir du chant.
Je suis très prudent car il semble y avoir autant de techniques que de professeurs, sans compter tous les « trucs » particuliers à chacun.

Votre site et ce que vous dites me plaît beaucoup.
Ce que je cherche est un enseignement qui se tient et dans lequel vous avez le sentiment d’avancer.

Déjà l’utilisation du point d’appui, ou palais strié, est pour moi une très heureuse découverte.

J’ai vraiment hâte de recevoir votre livre !

Bien cordialement

Jean Cornudet (Canada)

Mon commentaire :

Merci Jean pour votre confiance.
Je constate, hélas, que la situation de l’enseignement du chant dans votre pays n’est pas meilleure qu’en France.

Vous me faites l’honneur d’avoir commandé mon livre, qui reprend celui de mon Maestro auquel j’ai d’ailleurs collaboré en son temps, dans lequel est décrite la seule technique valable qui respecte la physiologie humaine et les lois de l’acoustique.

Cependant sachez que seule la pratique sous le contrôle de celui qui a été formé à cela pendant de longues années vous permettra de ressentir et ancrer en vous les réflexes d’utilisation de cette technique.

Je reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaires.

Amicalement

Dr Roger Yaeche

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Autre message reçu d’un italien vivant aux USA

Maestro, come sta ?

Volevo chiedere a lui qualche opinione sulla la mia voce et tecnica.
Ho cantato questo fine settimana scorso;
Tante grazie per il suo tempo e la sua disposizione.
Con molto rispetto e ammirazione dal suo lavoro.

Federico

Mon commentaire :

Ho ascoltato questo brano e posso dire che canta perfettamente, con una perfetta tecnica e anche l’interpretazione.
Brava e grazie !

Message reçu le 31 janvier 2010

Cher Monsieur,
Je me suis prété au jeu des 4 voix, voici mes préférences :
Je préfère la 2è version, même si elle me semble être d’un ton plus grave, mais c’est une voix très riche, très vibrante, une grande voix.
Alors entre le 1 et le 2, c’est donc le 2.

Pour ls n° 3 et 4, j’ai préféré le 4 pour les mêmes raisons : plus d’harmoniques, c’est plus agréable à mes oreilles.

Merci pour votre site, si complet et riche en informations.

J’ai une question à vous poser : jusqu’à quelâge est-ce que je peux apprendre à chanter ?
Je nesuis plus toute jeune, je suis une femme, je suis mezzo.
J’ai déjà travaillé avec un chanteur/professeur italien qui m’avait d’abord classé soprano et qui a changé d’avis après une année de travail et un énorme investissement financier.
J’ai du abandonner ce Monsieur car il était surtout très gourmand financièrement mais pas très généreux concernant la régularité des cours.
Est-ce que vous avez des conseils à me donner ?
Merci et bonne soirée
Claudie Delange

Ma réponse :

J’ai bien sûr répondu directement à cette charmante dame, mais je voudrais attirer votre attention, une fois de plus, sur le charlatanisme de l’enseignement du chant dans notre pays :
a-On se prétend italien car ça fait bien dans le tableau, afin de mieux tromper les élèves.
b-On ne sait pas classer les voix, soprano, mezzo etc. C’est lamentable et la preuve de son incompétence, alors qu’il faut 5 minutes pour cela.
c-Cette charmante dame s’est fait également « avoir » sur le plan financier.
d-Elle a eu sûrement de la chance, à cause d’une mauvaise technique, de ne pas « attraper » un de ces désordres laryngés dont je parle dans le chapître correspondant de ce site.
Les charlatans font le bonheur des phoniatres ici bas.

Merci de votre attention

Dr Yaeche

Lettre de Sophie Gouby, mon élève

Lettre d’une artiste de variété, mezzo-soprano à la voix chaude et possédant un énorme charisme, qui a developpé sa voix grâce à la technique que je lui ai enseignée.
A tel point qu’elle a pu interpréter il y a trois ans, au Casino de Deauville, pour le repas annuel d’une association artistique musicale, 2 airs de Samson et Dalila de notre grand compositeur Saint-Saens et 1 air du Trouvère de Verdi.

Elle reprend actuellement des cours pour pouvoir bientôt chanter à nouveau de l’Opéra.

Merci Sophie.
Tu me vois extrèmement ému par un tel témoignage !

Cliquez sur l’image ci-dessous.

Lettre d’un grand humaniste

Je cite :

« Je soussigné Jean Charmoille, docteur en médecine et chanteur lyrique, certifie que Roger Yaeche dispense à Rouen un enseignement de grande valeur comme professeur de chant lyrique.

Je l’ai consulté pour la première fois début 2009 pour grasseyement et voile sur la voix.

Après quelques cours avec lui selon la technique traditionnelle italienne, mes symptômes ont disparu.

Aussi ai-je décidé, il y a plus d’un an, de venir de Paris plusieurs fois par semaine pour continuer ma formation de chanteur lyrique sous son égide.

Actuellement, ma voix de ténor dramatique se développe tant en puissance qu’en virtuosité grâce à ses compétences.

Aussi lui fais-je confiance pour la suite.

A Paris le 20 février 2010

Docteur Jean Charmoille

Rue Vicq-d’Azir
75010 PARIS

Mon commentaire :

Mon cher Jean,

Ce témoignage m’émeut au plus haut point, d’autant plus qu’il émane d’un homme de très grande valeur et d’une culture infinie.
Merci.

Roger

Lettre du 14 mars 2010

Mon cher Roger et Ami,

Nous sommes bien rentrés d’Agen où nous avons passé une excellente soirée à écouter vos élèves.
Nous espérons que vous êtes maintenant arrivés chez vous.
Celà a été pour nous un grand moment de bonheur.
Voilà une preuve supplémentaire, s’il en fallait une, que la technique traditionnelle italienne de chant est la meilleure qui soit, inégalable et inégalée.

Pour présenter ce concert, vous n’avez pas choisi, comme font souvent les chanteurs et leur professeur, lors de leurs premiers concerts, les morceaux les plus faciles.

Nous y avons entendu des grands airs de « Tosca » de Puccini, pour ténor et soprano, des airs de basse du « Simon Boccanegra » et du « Don Carlo » de Verdi, et d’autres airs du grand répertoire.

Nous avons entendu des jeunes gens qui maitrisent bien leur instrument et qui, par conséquent, ont abordé les notes aigues avec confiance.

L’un d’entre eux, qui a un peu plus d’années d’étude que les deux autres, est à mon avis prêt à chanter en public, à « se frotter » à des concours ainsi que des auditions pour se produire dans des opéras.
Il maitrise parfaitement son instrument, sa voix est timbrée et bien placée et ses aigus sont brillants.

Tout cela est possible car vous lui avez appris la seule technique valable pour le chant lyrique.

Mon cher Roger, ne vous laissez pas décourager par les critiques négatives de pseudo ténors qui ne comprennent rien à l’Art Lyrique.
Qu’ils nous fassent entendre leurs élèves et ensuite ils pourront parler.
A mon avis ce n’est pas demain que nous les entendrons !

Merci encore de nous avoir si gentiment invités à ce concert.
Je suis vraiment ravi d’avoir fait votre connaissance car vous êtes à mes yeux un homme d’une grande valeur.
Je suis fier d’être votre ami.
Félicitations.

J’ai hâte que nous fassions quelque chose ensemble avec vos élèves et la troupe « Italica » vers le mois d’octobre.

De tout coeur avec vous.

Recevez ma sincère amitié et saluez bien votre épouse pour nous.

A bientôt.

Guy

Mon commentaire :

Une fois de plus, mon cher Guy, c’est avec beaucoup d’émotion que j’ai la grande joie de vous lire.
Vous n’avez pas hésité à faire des centaines de kilomètres pour faire notre connaissance et assister au « baptème du feu » de mes trois élèves.

Soyez en remercié.

J’ai été ravi de vous connaître enfin, autrement que par courrier, ainsi que votre charmante épouse.

Nous allons encore travailler d’arrache-pied afin d’être dignes de votre invitation pour un prochain concert.

Merci de tout mon coeur.
A bientôt

Roger

Lettre d’un nouvel élève

Le 29 mars 2010

Cher Professeur,

A bien des égards je suis heureux d’avoir croisé votre route. Vous avez su vous rendre disponible et ainsi nous avons pu commencer le travail de construction de ma voix.

Quand j’habitais encore en province, j’ai visité votre site régulièrement, sans même imaginer qu’un jour je serais en face de vous pour vocaliser.

Lorsque je suis venu vous voir pour la première fois, j’avais déjà constaté que vous étiez un des derniers dépositaires de ce fameux enseignement du chant.
Ce milieu m’a toujours semblé difficile d’accès, obscur et froid.
J’entendais tout et son contraire et me demandais comment cet art si répandu pouvait tolérer autant d’approximations et autant d’ésotérisme, autant d’ignorance manifestée même par ceux qui prétendent l’enseigner.

J’entendais les grands chanteurs du siècle dernier, et rien de ce que je voyais de l’enseignement du chant ne me suggérait de chemin sûr et efficace pour espérer chanter comme eux, un jour.

Tout ce qu’on sait me dire dans les conservatoires c’est « si vous avez une voix, et si vous savez vous débrouiller, vous pourrez monter mais….vous savez, c’est très bouché ».
Ce sont les encouragements donnés par l’enseignante de chant du conservatoire régional de B., il y a bien longtemps.

Mon oreille ne me trompe pas, et je sens bien qu’il y a dans l’enseignement que vous proposez du sérieux, de la force, des bonnes certitudes.
Après quelques semaines de cours auprès de vous, c’est la puissance et la décision dans le chant qu’on commence à acquérir.

Mon goût pour le chant n’est jamais parti.
Je chante depuis que j’ai cinq ans et il faudrait bien du mal pour m’arrêter.

Un jour, j’espère chanter dans les règles de l’art, et ce sera grâce à vous et à votre goût des choses bien faites.

Puissiez vous continuer à enseigner pour longtemps !

Félix Camille

Mon commentaire :

Merci infiniment Félix.
Que puis-je ajouter à autant de compliments ? Rien.

Je sais que tu fais partie de la famille des surdoués, dans tout ce que tu entreprends, et d’une grande maturité malgré ton jeune âge.

Cela ne pourra que te servir dans le chant comme dans la vie.

Roger Yaeche

Commentaire d’une nouvelle élève après son premier cours (le 18 septembre 2010)

Je cite : « J’ai été enthousiasmée par ce premier cours et je tenais à vous le dire.

Bon week-end, à vendredi »

Martine DROZ

Mon commentaire : Voilà un témoignage qui me va droit au coeur. Merci !

Nouvelle lettre d’un grand Ami, après un concert donné dans sa ville

Bonjour Roger,

C’est avec une vive émotion que je t’écris ces quelques lignes.

Je viens, en effet de surfer sur ton site et j’ai relu avec attention l’éditorial, le courrier des
lecteurs, ainsi que le livre d’or.

J’y ai trouvé une mine de belles et bonnes choses, qui gratifient comme il convient, tout
ton travail, ta passion, et ton engagement pour l’art lyrique.
Des messages de soutien, adressés par des chanteurs professionnels qui savent de quoi ils
parlent.

J’y ai même découvert un message de l’un de tes détracteurs, un certain François Nouvion,
qui parle en bien de ton site et te félicite. Depuis, il a changé d’avis.
C’est vraiment de la paranoïa. Le pauvre!!!

Quand j’ai réalisé la somme de tous ces messages positifs et remplis d’espoir pour
l’avenir de l’art lyrique, en comparaison des élucubrations de deux individus aigris,
qui n’ont rien compris à l’Ecole Traditionnelle Italienne,peut être même (pour ne pas dire certainement)
rien compris à l’art du chant en général, je dis : Bravo Roger, continue ton combat pour la noblesse
du chant, et je me joints à toi, pour défendre cette méthode qui à fait ses preuves au cours des
siècles (n’ayons pas peur des mots).

Avec toute mon affection,
Amitiés
Guy

Mon commentaire : Sans commentaire !