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2ème édition en 1 seul livre

A tous les amoureux du chant d’opéra italien

Merci de noter que cette 2ème édition, revue et augmentée, va maintenant être éditée en 1 seul volume groupant l’ensemble des 3 cahiers.

Afin d’avoir sous la main l’intégralité de ce qu’il faut connaitre.

Vous devez certainement connaître les problèmes liés à l’enseignement du chant car il n’existe plus de professeurs valables. Ce livre va permettre à ceux qui auront la chance de le lire, en n’hésitant pas à me contacter si un problème ou un besoin d’explications se présentent, de pouvoir chanter comme au temps de l’âge d’or en Italie, à l’abri de tous problèmes laryngés, avec une grande facilité comme notre ami Mario LANZA et bien d’autres encore.

Je ne saurais que trop vous recommander de vous procurer ce nouvel ouvrage, plus explicite, plus détaillé, et comme toujours je suis à la  disposition des acquéreurs pour répondre à toutes les questions désirées, et les aider personnellement. Bien noter que c’est moi qui vous l’enverrai. Merci !

Bien amicalement

Roger Yaeche (Italopera)

Orientation utile de ma pratique d’enseignant du chant d’opéra

Bonjour à tous nos Amis,

Certainement motivés par la formation que j’ai reçue, il ne se passe pas une semaine sans que je reçoive des demandes d’audition, de conseils concernant la technique italienne de chant, de la part de jeunes et de moins jeunes passionnés d’opéra et déçus par leur pseudo formation obtenue  jusqu’à ce jour, sans compter celles et ceux victimes de graves désordres vocaux qui s’en plaignent, me demandent de venir à leur secours pour savoir s’il est possible de les guérir et les aider en ce sens.

Je rappelle que ma formation de médecin, complétée par un diplôme d’enseignement supérieur de médecine générale et un autre de gériatrie, venant s’ajouter aux 10 années de formation quotidienne au chant d’opéra et à son enseignement, tout cela me qualifie pleinement pour répondre positivement aux demandes ainsi reçues. Car qui plus est, je n’ai jamais cessé d’être « plongé » dans le bain du chant lyrique et d’opéra tout au long des années de ma pratique médicale.

J’ai donc décidé de me consacrer désormais à 3 postes essentiels, à savoir :

– un volant de conseiller d’orientation afin de dire franchement à la personne en face de moi si elle possède ou pas l’étoffe indispensable pour devenir professionnel, indépendamment de toute technique de chant.

– un volant enseignement de la seule technique valable pour chanter 30 à 35 ans avec aisance et sans crainte de voir apparaître des quelconques désordres vocaux mettant leur carrière en péril !

– enfin un volant thérapeutique afin de guérir, si cela n’est pas trop tard, les larynx endommagés.

Je ne crois pas qu’il existe beaucoup de professeurs de chant ayant la même carte de visite que la mienne.

Merci à tous.

Ci-dessous merci d’écouter le ténor qui m’a mis personnellement le pied à l’étrier : MARIO LANZA (1921-1958), décédé à l’âge de 38 ans !!!
C’est celui qui incarne parfaitement la technique traditionnelle italienne de chant, sa voix étant pour les élèves très didactique, très démonstrative, notamment en ce qui concerne la « posizione alta ».

     

,Emission « Prodiges, le grand concert » : désastre vocal !

Bonjour, J’ai voulu regarder, hier au soir sur France 2, l’émission animée par Mme Marion James.

Si j’ai été fort agréablement surpris par ces jeunes artistes jouant d’un instrument, piano, violon, j’ai par contre été scandalisé de voir et entendre une jeune personne, dont la voix n’a pas encore muée, forcer sur son larynx pour interpréter le célèbre « Nessun Dorma » extrait de l’opéra Turandot de Puccini, aria concluant l’ouvrage, écrit pour ténor et non pour soprano, chanté par le prince Calaf, amoureux de la belle Turandot.

Je ne sais pas si d’autres jeunes chanteurs se sont produits car j’ai cessé de regarder ensuite.

Je ne vois pas où est le côté « prodigieux » de faire en sorte que dans peu de temps cette jeune personne, victime et non responsable en quoi que ce soit de sa manière de chanter, aura à faire face à la présence de nodules ou de polypes au niveau des cordes vocales si, comme pour Monserrat Caballe, célèbre soprano espagnole fort connue, ses professeurs n’avaient pas exigé d’elle qu’elle cesse de chanter le temps de cette profonde transformation hormonale qu’est la puberté. Sans compter qu’une fois cette dernière achevée, rien ne prouve que sa couleur de voix sera toujours celle d’une soprano.

Se posera alors le problème de savoir, dès le tout début des études, classer une voix, ce qui n’est pas acquis d’avance !

C’est scandaleux d’abuser de la sorte du talent artistique indéniable d’une jeune fille, pour le bien d’une émission télévisuelle, et de faire fi de toutes saines règles concernant la physiologie humaine.

Que feront ses professeurs, que diront et feront celles et ceux qui prétendent lui avoir fait chanter cet aria, galvaudé s’il en est, quand elle sera contrainte d’abandonner, malgré des dons musicaux incontestables et pour le restant de ses jours, tout projet de carrière ?

Car si un piano, un violon se trouvent cassés, soit on les répare soit on les remplace. Mais concernant le larynx : c’est impossible !

Regardez combien d’artistes célèbres, à l’indéniable talent, ont du abandonner leur carrière ! Et combien de lettres je peux recevoir, me demandant de rééduquer la voix de leurs auteurs !

C’est, je le répète, scandaleux et pas près de changer !

NB : La première version du texte ci-dessus a été publiée le 3 juin. J’ai cru bon, devant la grande dureté, pourtant justifiée, de mes propos, de « l’adoucir » quant à son style, le fond du problème étant inchangé, bien entendu. Merci.